Le Honduras : pays dangereux ? Notre expérience de voyage !

Voilà que te prend la drôle d’idée d’aller visiter le Honduras, ce pays lointain d’Amérique centrale ! Mais l’éloignement n’est pas ta principale préoccupation : non ! C’est plutôt l’image catastrophique concernant la sécurité du pays : le Honduras est-il un pays sûr ?

Non ! Selon plusieurs sources : le Honduras est dangereux. Il suffit de lire les recommandations du site officiel du ministère français des Affaires étrangères : « le Honduras demeure l’un des pays au monde où la criminalité est la plus forte. « 
Une très grande partie du territoire est « déconseillée sauf raison impérative« , comme on peut le voir sur cette carte :

Honduras dangereux
Honduras Dangereux ?

Et compte sur ta famille, amis et connaissances pour ajouter la couche qu’il faut pour te décourager, t’angoisser et te faire revenir à la raison (maison ?) finalement ! « t’es pas fou, non, d’aller au Honduras ? C’est le pays où la criminalité est la plus importante du monde ! Tu ne pourrais pas voyager en Suisse plutôt ? »

Alors qu’en est-il vraiment ? Voici notre expérience lors d’un séjour au Honduras de 3 semaines.

Des risques inconsidérés au Honduras

Voici les 5 risques les plus importants au Honduras, pays dangereux :

1.      Le risque de tomber sous le charme de Copan !

Et on en a visité des cités mayas en Amérique centrale. Tikal, Tulum, Palanque, Calakmul… Toutes sont incroyables. Mais celle qui nous a le plus envoûtés fut Copan. Est-ce parce que le site est peu fréquenté ? Est-ce pour ses sculptures d’une finesse exceptionnelle ? Est-ce pour son escalier portant le plus long message écrit par les Mayas ? Difficile de le dire. Ce qui est sûr c’est qu’on est ressorti enchanté de notre visite de Copan.

Copan, notre site mayas préféré !

2.      Le risque de ne plus vouloir repartir des îles Baia au Honduras

C’est qu’elles sont magnifiques ! De vrais décors de carte postale. Utila, Roatan, sans compter les petites îles comme Water Cayer !
Bref : cocotiers, eaux turquoise, jungle, sable fin : tout ce dont on attend d’un paradis en fin de compte. En plus, ce sont des lieux parfaits et réputés à l’international pour la plongée.
Personnellement, on a testé Utila et Roatan. Utila nous a bien plu, mais Roatan fut un vrai coup de cœur au Honduras et lors de notre tour du monde ! À moins d’aimer les plages festives à l’Ouest, on te conseille plutôt de t’enfoncer dans l’Est de l’île. Assez sauvage, tranquille, authentique : cette partie de Roatan est peu urbanisée. Un vrai bonheur… qu’on ne voulait plus quitter. C’est un risque à prendre ! On a bien failli finir là notre tour du monde et ne plus bouger. Quand on réfléchit : qu’est ce qui pourrait pousser à quitter un paradis ?

3.      Le risque d’être surpris par la gentillesse des locaux !

Souriant, aidant, bienveillant… Voilà de quoi casser radicalement l’image terrible peinte par les sites internet alarmistes. On a trouvé les Honduriens adorables et toujours prêts à aider quand on était perdu ou que l’on avait besoin d’informations. Et des informations, tu en auras besoin si tu prends les transports en commun ou si tu cherches des sites souvent mal indiqués. C’est aussi un plaisir de discuter avec eux à propos de la culture ou les coutumes du Honduras.

Sympathique rencontre avec un pêcheur de Tela

4.      Le risque de se plaire au Lac Yojoa

On t’aura prévenu ! Ce lac, au cœur du Honduras, est un petit joyau naturel. Si la rive qui longe la route est un peu plus « civilisée », la rive opposée est sauvage. D’ailleurs, dans cette partie, il n’existe pas vraiment de chemin pour te balader et avoir des points de vue sur le lac Yojoa. On te conseille de louer un kayak : c’est le meilleur moyen de cerner les beautés lacustres de ce lieu. Il y a aussi la possibilité de faire quelques randonnées courtes dans parc eco-archélogique de los Naranjos.
Et pour les amateurs de bière, il y a ici une des plus réputées micro-brasseries du Honduras ! ll s’agit de D&D Brewery. En plus de délicieuses bières, tu pourras également t’appuyer sur l’équipe bien sympathique de cette micro-brasserie pour profiter des alentours du lac Yojoa au Honduras.

En kayak sur yojoa

5.      Le risque d’être subjugué par le Pico Bonito

Le Pic Bonito, fier et impressionnant s’élève au-dessus d’une jungle épaisse et fascinante. Et tout autour, les brumes se dissipent progressivement pour laisser à un décor féérique et un Rio aux teintes sublimes. Un joli coin à découvrir, surtout si tu aimes les randonnées. Mais beaucoup de voyageurs viennent de loin pour profiter d’un sport d’eau vive : le rafting ! Cramponne-toi à tes rames : ça va secouer. Une belle dose d’adrénaline dont tu risques de devenir accro : c’est le risque au Honduras !

Pont suspendu pour entrer dans le parc du Pic Bonito

Ce qu’il ne faut pas faire ! et que l’on a fait au Honduras dangereux

Oui bah parfois, sans faire exprès ou volontairement, on a transgressé les règles que l’on nous avait recommandées. Argh. Exemple à ne pas suivre. Heureusement, il ne nous soit rien arrivé. Coup de chance exceptionnelle ou rien d’incroyable ? Difficile de le dire. En tout cas, on est encore vivant pour écrire un article sur « Le Honduras est-il un pays dangereux » !

Voici une courte liste des règles à respecter que l’on a transgressées (exemple à ne pas suivre si possible)

Faire du stop au Honduras !

« Mais ça ne va pas bien non ? Et le risque de kidnapping alors ! »

Oui, bon en fait, on n’a pas fait exprès ! Lors d’un trajet en bus vers le lac Yojoa, on s’est fait déposer à 15 km de notre objectif suite à une incompréhension avec le conducteur de bus sur l’itinéraire exact. Oups !

À peine débarqués qu’une voiture s’arrête et nous demande où on va… Bingo : notre direction est la leur. On embarque à l’arrière du 4X4 de ce couple bien sympathique du Honduras.
Alors peut-on faire du stop au Honduras ? Je t’avoue que, si cette expérience s’est bien passée, difficile pour nous de généraliser. Plusieurs éléments nous ont fait sentir en sécurité et accepter de monter çà bord :

J’imagine qu’on a eu une bonne intuition. Mais j’imagine aussi que s’il existe des agressions c’est que l’intuition n’est pas toujours fiable…

Emprunter les collectivos (ou bus collectifs)

« T’es pas fou non !  On t’avait pourtant dit de prendre des taxis officiels, des bus de compagnies recommandées ou des transports privés ? »

Oui, c’est vrai que les transports en commun « locaux » ne sont pas recommandés au Honduras. D’ailleurs, pour l’anecdote, dans le tout premier minivan local qu’on a pris (pour aller de Copan à Gracias), le conducteur du bus a planqué des billets dans un ourlet de son coussin et y a également glissé une machette aussi longue que mon bras (et j’ai de longs bras). Ambiance quoi ! Bienvenu au Honduras ! J’avoue que ça nous a un peu refroidis, nous qui venions du Guatemala où il faut faire un peu attention, mais on n’avait jamais vu une telle scène. Y a-t-il des braquages réguliers ? Des risques élevés de vols pour les conducteurs de bus ?
Le problème est qu’il est très difficile de faire autrement que d’utiliser les transports en commun ! Il est plutôt conseillé d’utiliser les grands bus touristiques, réputés plus sûrs. Mais les bus des grandes lignes ne réalisent pas tous les trajets que l’on souhaite faire. Et louer les services d’un taxi est hors de prix pour nous. Alors que faire pour visiter le Honduras ?

Quelques recommandations si tu décides d’emprunter les bus collectifs :

Traverser Tegucigalpa ou San Pedro Sula (SPS)

Ces 2 villes sont hautement déconseillées. Pour Tegucigalpa, on a suivi le conseil : on l’a soigneusement évitée ! Cela dit, on s’était fait inviter par un couple qui nous expliquait que le centre-ville était sûr en particulier en pleine journée. Il nous conseillait tout de même de réserver un taxi via une compagnie réputée avant même d’arriver par bus ou avion. Finalement, on n’aura pas pu tester. C’est une ville apparemment plus agréable qu’on veut bien nous le faire croire.
Par contre, on a testé la gare de bus de San Pedro Sula… Beaucoup de monde, assez excentrée de la ville… mais plutôt sure ! D’ailleurs, il y a pas mal de gardiens et même des fouilles de sac avant de prendre le bus pour vérifier qu’on n’a pas emmené d’armes… Si tu as envie de te faire peur, tu peux lire un article un peu ancien mais intéressant qui date de 2015 et qui se demande si « San Pedro Sula est elle la ville la plus dangereuse au monde » ?

En tout cas, que cela soit Tegucigalpa ou San Pedro Sula, il est difficile de les éviter. Les transports en bus ou en avion y sont aimantés ! Et on finit souvent par s’y retrouver. Pour l’aéroport de Tegucigalpa, tu seras surement heureux d’apprendre qu’un tout nouveau terminal a été inauguré, remplaçant un aéroport considéré comme le plus dangereux au monde ! Et cette fois, cet ancien aéroport n’était pas dangereux à cause de la délinquance mais de son emplacement géographique.
Pour l’aéroport de San Pedro Sula, aucun problème non plus. c’est un aéroport international avec toutes les normes de sécurité et une surveillance accrue pour limiter la délinquance.
Alors, San Pedro Sula et Tegucigalpa sont-ils un détour mortel ? À nouveau, sois vigilant : loin de nous l’idée d’affirmer que ces villes sont sures. Les chiffres ne mentent pas : la délinquance y est élevée et on te conseille, sans devenir parano, de les contourner, ou de faire une escale courte. Si tu dois y passer une nuit, prends des informations sur l’hôtel, demande conseil sur le quartier et privilégie les taxis officiels pour t’y rendre.

Où dormir à Tegucigalpa ?

Le centre historique de la capitale est agréable et présente quelques édifices remarquables avec une belle architecture : églises, cathédrale ou des bâtiments coloniaux espagnols. Tu trouveras aussi des lieux culturels : le musée d’anthropologie et d’histoire, le musée historique du Honduras ou encore le théâtre national. Bien sûr, le passage par la place Morazan est indispensable !

Et dans les alentours, ne manque pas la jolie ville de Comayagua (excursion organisée depuis Tegucigalpa), véritable capitale historique du Honduras.

Où dormir à San Pedro Sula ?

Avouons-le, l’intérêt de visiter la ville est limité (et assez dangereux…). Mais voilà, cette grande ville du Honduras possède un aéroport international et un bus terminal important. C’est donc souvent une ville de passage, d’entrée ou d’arrivée.  Malgré tout, il existe quelques trésors naturels autour, et en particulier le parc national Cusuco.
Bref, hormis quelques exceptions, il n’y a que très peu d’intérêt à rester dans cette ville, d’autant plus que certains quartiers battent des records de criminalité.
Cependant, on n’a pas toujours le choix ! Voici 2 adresses recommandables pour savoir où dormir à San Pedro Sula :

Marcher de nuit dans Tela, La Ceiba, Tegucigalpa et San Pedro Sula

La nuit, le Honduras est-il un pays dangereux ? Oui dans les villes… Dès la tombée du jour : hop ! Tu files à ton logement. Si cette recommandation nous parait exagérée dans les lieux ruraux, les petites villes et villages lors de ton voyage au Honduras, elle semble par contre raisonnable dans les plus grandes villes. Il faut avouer que les rues sont mal éclairées et qu’une population moins recommandable sort plus facilement la nuit.
Cela dit, pour des raisons d’horaires de bus ou de retard dans notre itinéraire, on s’est retrouvé à 2 reprises dehors à une heure avancée de la nuit. J’avoue qu’on n’était pas rassurés. On était concentré et sur le « qui vive ». Au final, cela s’est bien passé. On ne le conseille pas cependant, et encore moins à Tegucigalpa, Tela, La Ceiba, et San Pedro Sula…

Des chiffres de criminalité… et leurs interprétations !

Notre expérience dans ce pays d’Amérique centrale s’est très bien passée. 3 semaines d’itinéraire au Honduras sans accro. On a été plutôt agréablement surpris par la sécurité dans une grande partie du Honduras. Alors, d’où viennent cette mauvaise presse et ces chiffres de la criminalité élevés ?

Avant et maintenant

Déjà, la délinquance n’est pas la même maintenant qu’auparavant. Les choses tendent à s’améliorer. Il y a quelques décennies, la délinquance était à un niveau incroyablement haut et la corruption exceptionnelle. Même si, actuellement, c’est loin d’être parfait, la situation est meilleure : le Honduras est bien plus sûr qu’auparavant. La mauvaise image de pays dangereux colle toujours à la peau du Honduras malgré de nets progrès.

Une délinquance spécifique à des villes et des groupes d’individus

Les chiffres de la délinquance et de la criminalité sont très élevés au Honduras. C’est d’ailleurs les taux les plus élevés d’Amérique centrale. Oui, mais ! Car il y a un mais… Cette criminalité se concentre surtout sur 2 endroits et 1 groupe de personnes particulières.

Alors peut-on voyager au Honduras en toute sécurité ?

Le Honduras est-il un pays sûr ? N’allons pas trop vite et ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : la sécurité au Honduras reste un problème majeur. Mon article tend juste à montrer qu’il est possible de voyager au Honduras sans problème et qu’il me semble que certaines visions sont exagérées. Les chiffres sur la criminalité ne reflètent pas la réalité du terrain.
Cependant ! Et j’insiste ! Il faut avouer qu’on a fait preuve de la plus grande prudence et qu’on a été particulièrement vigilant au Honduras. Sans tomber dans la paranoïa, on était en permanence concentré sur nos affaires, nos effets de valeurs, les gens autour de nous, etc. Il ne nous ait rien arrivé, mais aucun voyage n’est le même et n’importe qui, même avec un maximum de précaution, peut avoir une mauvaise expérience au Honduras (ou en Suisse).

Avouons-le, dès qu’on a quitté le Honduras pour commencer notre voyage au Nicaragua (pays réputé comme un des plus sûrs d’Amérique centrale), on a soufflé un peu et on a relâché notre attention (et il ne nous ait rien arrivé non plus au Nicaragua).

Pour conclure : le Honduras est-il un pays dangereux ? Pas autant qu’on le lit/dit ! Pas autant que l’affirme l’image véhiculée par la plupart des gens qui n’y ont pas mis les piedset il serait dommage de faire l’impasse sur les trésors du pays comme l’île Roatan ou Copan qui nous ont émerveillés ! Cela dit, ne soyons pas naïfs : le pays impose une vigilance accrue dans certains lieux, sans tomber dans l’excès !
Profite bien de ton voyage au Honduras et n’hésite pas à nous raconter tes aventures (ou mésaventures ?) dans ce beau pays.

Derniers conseils pratiques

Nos coups de cœur logements au Honduras, dans des hôtels sûrs

Voici quelques adresses que l’on a testées ou qui nous ont été recommandées par plusieurs voyageurs. Elles sont sures et dans des lieux sans problèmes majeurs de délinquances.

Copan : notre site maya préféré !

Quel endroit fabuleux. Et coup de chance : le village juste à côté des ruines de Copan (et qui s’appelle Copan ruinas, comme les choses sont bien faites !) est bien agréable. Une ville sûre même à la tombée de la nuit. Aucun problème donc pour rentrer des ruines à pied pour rentrer à ton hôtel (environ 20ns à pied), mais gardez tout de même en tête les précautions d’usage !

Où dormir à Copan ?

Pico Bonito : la montagne dans la jungle

Un grand pic montagneux, la jungle, une rivière tumultueuse : voilà un site naturel qui nous a bien plu ! L’endroit est très apprécié des amateurs de rafting et de randonnées ! Et tout cela n’est qu’à quelques kms de La Ceiba. D’ailleurs, on ne te conseille pas de dormir à La Ceiba. La ville n’est pas très jolie et peu rassurante dès la nuit tombée ! On l’a expérimenté pour aller à une pizzeria vers 20h, et je peux vous assurer qu’on n’était pas tranquille ! Bref, La Ceiba, c’est une étape quasi obligatoire si tu veux aller vers les îles de Baia (dont on te parle après) ou vers le Pic Bonito… Mais on te conseille de ne pas y trainer et de passer tes nuits dans un des hôtels de charme du parc national Pico Bonito !

Et où dormir dans ce joyau naturel du Honduras ? Mmmmh ? Et bien ce n’est pas compliqué : 2 établissements tirent leur épingle du jeu.

Où dormir au Pico Bonito

Pour te rendre au parc Bonito depuis La Ceiba, on te conseille de te rapprocher de l’hôtel que tu auras choisi. Le personnel pourra t’aider en affrétant un transport privé ou en te conseillant sur le transport collectif (il y en a peu chaque jour, mais ce n’est pas cher).

Les îles Baia : le paradis terrestre !

Nous y voilà ! L’île exotique… Tout y est : coraux (la 2ème plus grande barrière de corail du monde !), eau turquoise, cocotier, cocktails à la main, douceur de vivre et soleil. C’est ici. Et en plus : les îles Baia sont considérées comme une des régions les plus sûres du Honduras. Restez tout de même vigilant dans les endroits fréquentés et touristiques : quelques vols ont été déclarés, en particulier dans le village de Utila, et sur les plages fréquentées de Roatan.

Où dormir à Utila ?

C’est une île sympa et appréciée par les amateurs de pongée. De plus, tu y trouveras pas mal d’excursions, en particulier pour la minuscule (mais tellement belle !) île Water cayer.
Malheureusement, aucun hôtel ne nous a paru vraiment intéressant. Si cela te convient de ne pas être au bord de l’eau, tu peux tenter un airbnb proposant des logements indépendants… Pourquoi pas ! C’est à réserver ici : Pirates Rock 101

Où dormir à Roatan ?

C’est une île multifacette et bien plus grande que Utila ! Considérée comme plus festive et urbanisée que Utila, nous avions quelques appréhensions à visiter cette île. Et oui : on aime la tranquillité et l’authenticité ! Alors si tu aimes la fête et les plages animées, direction l’ouest de l’île et sa célèbre West bay ! Mais si tu recherches de la tranquillité, une nature sauvage et préservée, et un havre de paix : direction le centre ou l’est de l’île !

Dans l’ouest de Roatan près de West Bay :
Dans l’est ou le centre de l’île Roatan :

Où se trouve le Honduras ?

Oui, j’aurai sûrement dû commencer par là ! Le Honduras est un pays d’Amérique centrale situé entre 3 pays : le Guatemala, El Salvador et le Nicaragua. La mer des Caraïbes est accessible au nord du Honduras. il y a aussi une côte Pacifique, plus petite, tout au sud.
La capitale est Tegucigalpa. En therme économique et commercial, San Pedro Sula, est une ville également importante mais plus petite en taille.

Quand partir au Honduras ?

Mais jamais ! trop dangereux ! Euh non, pardon…
C’est un climat tropical que l’on retrouve principalement au Honduras? Côté thermomètre, la chaleur sera à peu près la même toute l’année et varie peu. C’est en général chaud et humide. Dans les zones montagneuses, il peut faire plus frais (une douzaine de degrés), mais elles vont facilement jusqu’à 30° sur la côte où en basse altitude. La différence entre les mois se joue plutôt sur la pluviométrie ! Tu peux distinguer deux saisons au Honduras : sèche et humide.
La saison des pluies commence en mai et s’étire jusque fin novembre. La saison sèche va donc de fin novembre à fin avril. Alors quand partir au Honduras ? Evite le mois de septembre qui est le plus pluvieux avec des risques de tempête tropicale. Préfère les mois de décembre, janvier, février, mars, avril et mai. Plus spécifiquement pour Roatan et Utila, les mois les moins pluvieux et donc les meilleurs sont février, mars, avril et mai.
Nous concernant, nous y étions au Honduras en janvier. Sur 3 semaines, on a eu une journée avec des averses et 3 ou 4 jours nuageux. le reste : grand soleil !

Profite bien de ton voyage au Honduras et n’hésite pas à écrire en commentaire tes bonnes ou mauvaises expériences dans ce pays d’Amérique Centrale !

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